Je ne me rappelle plus quand j’ai reçu mon premier couteau suisse.
Je me souviens par contre que mon père m’avait offert un tout petit opinel.
Lui, il avait le grand. Il l’utilisait sur les chantiers pour couper son pain pendant la pause je présume.
À l’école de recrue, j’ai reçu un couteau militaire argenté.
Un couteau suisse que j’ai encore et qui, j’espère,
m’accompagnera pendant mon périple de Morges à Petrizzi.